-
Je viens vous présenter un nouveau Legacy qui, je l'espère, vous plaira ! J'ai mixé plusieurs idées pour arriver à cette chose :
Le background est tiré d'un film (normalement) bien connu, mettant en scène des êtres bleus appelés Na'vis Notre Neytiri ici présente (en espérant que vous arrivez à la reconnaître), ancienne princesse de Pandora, a fui sa planète lorsque celle-ci s'est retrouvée pulvérisée au terme d'une guerre affreuse (non tu n'hallucines pas, ce n'est pas le résumé du film mais bien le début de mon histoire, rien à voir donc). La seule planète étant enregistrée dans les paramètres du vaisseau qu'elle a réussi à voler se trouvait être celle des sims (que de praticité, dites-moi). La voilà donc seule survivante de son peuple, à essayer de débuter sa nouvelle vie !C'est donc une demoiselle sûre d'elle, pour essayer de coller au film, évidemment amoureuse de la nature et bienveillante. Je n'ai pas encore choisi son métier parce que je n'ai pas d'idée qui pourrait lui convenir, donc je suis toute ouïe si vous avez des suggestions !
Voilà donc pour ce début ! J'ai voulu mélanger trois envies : représenter un peuple connu, faire un legacy, et avoir une petite notion de repeuplement ! Je n'ai pas fait dégager les voisins parce que ce n'est pas un challenge apocalypse avec plus rien sur la planète, mais le but est quand même de faire le plus de gosses possibles pour que les Na'vis survivent XD Par ailleurs je n'ai pas repris son nom de famille (je vous épargne la bête) pour l'appeler Na'vi, tout bêtement, histoire que son héritage la suive.
Je pars de nouveau sur un matriarcat, une lignée stricte traditionnelle, et une démocratie ^^ (et l'héritière doit forcément avoir la peau bleue).
votre commentaire -
Nectarine était tellement à fond sur la cuisine qu’elle prenait ses assiettes en photos même si c’était moi qui avais préparé le repas.
Ceci étant, ça faisait plaisir de la voir aussi passionnée.
Elle passait son temps à tenter de faire de nouvelles pâtisseries.
Enfin, fallait déjà qu’elle s’entraîne pour arriver à maîtriser la chose, sinon c’était ménage trente-six fois par jour dans la cuisine garanti !
Mais au moins, elle lâchait pas l’affaire.
Et on avait droit à beaucoup…
Beaucoup de machins non identifiés à déguster.
Depuis que les filles avaient grandi, on partageait de vrais moments sympas en famille. Comme par exemple ce soir-là où il fallait enfiler des costumes de Star Wars pour le kiff de sa célébration. Bon, faire deux trois photos c’était fun, mais après ça nous a fait partir dans un débats où chacun donnait le numéro de son épisode préféré. Interminable, le truc.
L’ambiance s’était calmée à la maison. Même mamie Pomme paraissait plus détendue depuis que je lui avais sorti la ribambelle de tartes. C’est pas qu’il était temps, mais presque !
Pendant que Nectarine bossait en partenariat avec le four, Pêche améliorait sa logique avec son père, puisqu’elle était restée sur son idée de travailler au laboratoire de la ville voisine.
Ah oui d’ailleurs, comme vous pouvez le voir, on a fini d’aménager le rez-de-chaussée. Maintenant, on avait au moins un niveau sur trois qui ressemblait entièrement à quelque chose.
- Ça t’dit que j’te fasse un gâteau pour ton anniversaire ?
- Tu les fais mieux que maman ?
- Ben on va voir ça.- Maman elle salit pas autant le comptoir en tous cas.
- Bon tu le veux ton gâteau ou bien ?
- Oui oui, j’le veux !
- Bon alors, hein… Si t’es pas contente t’as qu’à attendre qu’elle rentre du boulot pour souffler tes bougies.
- Mais j’ai rien dit sœurette, fais-moi donc un merveilleux gâteau.
- J’ai pas dit qu’il serait merveilleux.
- Ouais bref, fais-le qu’on en finisse.- Hé voilà ! Heureuse ? J’ai même pensé aux confettis et tout.
- T’es la meilleure !- Bon alors, c’est où qu’on chope du popotin du coup ?
- euh…Avant qu’elle se mette à faire une co.nnerie, j’ai pris Pêche sous le bras et sa sœur aussi en passant, pour faire un tour en ville histoire de me trouver une robe de mariée. Parce que mine de rien, Samuel faisait tout sauf rajeunir.
Le problème avec le magasin de fringues de la ville, c’est que c’était absolument pas le genre de la maison.
Nope. Mauvaise pioche.
- Bon alors maman, tu trouves ?
- Nan, apparemment c’est pas le genre mariage par ici !- Il est vrai que nous avons une sélection plus… « quotidienne » que farfelue.
- C’est farfelu un mariage ? Vous n’avez même pas de robes tout court à part celles qui disent « je suis coincée de l’arrière-train », crucruche !- Euh si si, il nous reste une robe de mariée à l’étage, madame !
- Qui tu traites de madame ? S’pèce de polo rose, là.
- Ah oui c’est vrai, c’est possible qu’on ait ce que vous cherchez !
- Booon, ben c’est top, c’est par où ?- Et donc, c’est une blague ? Il est nu, vot’ mannequin là.
- Aïe, peut-être qu’une collègue l’a vendue !- Non mais tu t’fiches de moi la mocheté ?!
- Bon ben moi, je redescends…
- Tu vas m’trouver une robe, oui ?!- Attendez attendez, regardez dans notre brochure, on peut vous la commander si elle vous plait !
- Ah ouais ? Fais voir un peu ?- mmh mmh… celles-ci sont vilaines.
- C’était celle-là qu’on avait ici…
- AH OUAIIIS ! Elle est top canon, tu m’la fais livrer direct chez moi, compris ?
- Euh oui oui…
- De toute façon t'as pas vraiment l'choix parce qu'à moins d'avoir envie que mamie Pomme débarque avec des tartes avariées à t'envoyer à la tronche, bon...
- Elle t’irait trop bien m’man !
- Je sais chérie, je sais.- Bon allez, sans rancune ma grande ? Pêche, trouve ta sœur, on rentre !
votre commentaire -
Un soir, Lucas est rentré encore plus dépité que d’habitude. Apparemment, il s’était fait virer, comme ça, sans explication.
Du coup on attendait encore plus qu’il clamse. On l’envoyait faire du sport en lui disant que c’était important qu’il se maintienne en forme et tout ça…
Et ça a fini par payer ! Bon, trois jours plus tard avant même qu’il remonte sur tapis, mais quand même.
Le point positif cette fois a été de voir débarquer Faufau-l’escargot assez rapidement. A croire que le fait de se trouver déjà au sous-sol l’avait aidée.
C’était pas le tout, mais on commençait à avoir une sacrée collection de décédés… J’vous l’dis, ça swing au paradis des tupurris !
L’anniversaire de Pêche est arrivé, et je lui ai fait un gâteau. Mais j’faisais tellement à bouffer en ce moment que ça commençait à m’peser sur le système.
- Hé les gars, vous vous rendez-compte qu’elle souffle ses bougies, ou bien ?
Je savais pas trop, mais en tous cas ils avaient l’air à fond dans leur truc.Et ils sont restés dans leur délire quand elle a fini par grandir. Bon, pas trop quand même, alors je l’ai emmenée faire les boutiques.
Bon alors, mieux ?
- Hé m’man, t’as remarqué que t’étais pleine de paillettes ? C’est quoi cet accoutrement ?
- Ah t’as remarqué ?
- Un peu oui, c’est tellement court que…
- Roh ça va, j’ai l’âge.
- T’as peut-être un peu trop d’âge, justement.- Pêche Trucmuche Entartée, attention hein ! J’passe un coup d’fil à mamie Pomme tu vas rien comprendre !
- Ouais, bref, et donc ?
- Ben c’est un nouveau parti pour les présidentielles, et comme j’aime leur programme et qu’ils ont l’air encore plus dérangés que la famille, j’me suis dit que ça pouvait être fun.
- …Et pour honorer mes propos, mamie a débarqué une nuit pour… s’occuper du jardin. Franchement, ils avaient rien de mieux à foutre, les fantômes ?
Comme au petit matin elle y était encore, Pêche s’est dévouée pour l’aider. Enfin, c’était surtout parce qu’elle avait pris un petit job qui lui demandait de progresser en jardinage, mais quand même.
- Bon alors, t’arraches comme il faut ?!
- Mais évidemment, roooh ! Si t’es pas contente j’te laisse finir toute seule, hein.
- Pour ce que ça va changer…
J’vous l’avais dit, y’avait une sacrée ambiance.A l’intérieur de la maison, c’était sympa aussi. Maintenant, on avait carrément le facteur qui entrait par la porte de derrière pour aller déposer les factures dans la boite aux lettres de devant. Non mais ça déc.onnait sec !
De mon côté, je continuais de cuisiner, et même que j’étais pas loin du haut de la pyramide !
Pour compenser, on faisait régulièrement des séances de sport en couple, avec mon Samichou d’amour.
Et comme de bonnes nouvelles n’arrivaient jamais seules, j’étais plus qu’à deux paliers du sommet d’mon job ! Peintre pro que j’étais déjà devenue, et on m’avait offert un chevalet trop stylé
Sinon, les moments en famille étaient toujours aussi intéressants. Les filles causaient sans qu’on comprenne rien, même si j’arrivais à choper deux trois mots qui me laissaient entrevoir l’avenir scientifique dans lequel Pêche voulait se lancer. Apparemment, elle voulait manipuler génétiquement les fruits et légumes pour que la famille soit encore plus badass avec les tartes.
Et puis l’anniversaire de Nectarine arriva…
- JOYEUX ZANNIVERSAIIIIIRE, T’ES PAS EN FACE POUR SOUFFLER TES BOUGIIIIIIIIES ♫Et BOOOOOOM. Alors, c’était qui la plus belle ?
Voilà. Donc, Nectarine avait dans l’idée de se lancer dans la pâtisserie, parce que non seulement c’était ne pas trahir l’esprit et la tradition de la famille, mais elle sentait qu’elle avait l’âme d’une commerçante. Alors moi, j’étais contente.
Peu après, Samichou s’est tapé un coup d’vieux. Je comprenais pas pourquoi on zappait chacun de ses anniversaires, j’vous avouerais… Lui qui travaillait ses abdos pour moi, c’était dommage de le couper dans son élan, quand même.
Et puis vint le soir où j'ai fini prêtresse cuisinière, et où j’ai sorti mamie Pomme par la peau invisible du cul de sa tombe, pour lui faire poser ce dernier sur un tabouret.
- Hé ben qu’est-ce qu’il y a, qu’est-ce que c’est tout ça ?
- Mamie pomme, les tartes, les tartes, mamie Pomme !... Bon alors, T’ES HEUREUSE OU BIEN ?!- Oh ben oui ! Il était temps tiens ! Mais…
- … Quoi, encore ?
- C’est quoi ça, là ?
- De quoi, ça ?... Oh, ça ? Des crumbles mamie. Et des gressins, faits avec amour par ton arrière-petite-fille.
- Ah. Okay. Bon ben t’as fait des tartes, c’est déjà ça.
- …Bon, finalement, elle était contente.
votre commentaire -
- Alors comme ça vous allez vous marier ?
- Oui m’man !- Et tu vas inviter ta sœur, j’espère ?
- Eeeeeh je sais pas !- Mais enfin, ça devient stupide !
- Ouaiiis mais j’ai pas envie de voir sa sale tronche, pis j’suis sûre qu’elle prendrait un malin plaisir de me laisser l’inviter pour me répondre qu’elle vient pas. Alors non.Voilà. J’avais pas envie que ma sœur squatte à mon mariage, point barre. Pour retrouver facilement le sourire, il me suffisait de regarder ma petite famille. Sam s’entendait à merveille avec les filles, et ils se fendaient ensemble facilement la poire, apparemment. Bande de bruns.
Le problème c’est qu’en voulant aller au sous-sol, maman nous a fait un bruit super étrange.
- Wesh maman, j’arrive !
- Voilà, je m’installe confortablement, parce que faut pas pousser… et je vous rejoins.
- Bon… ça vient oui ?!
- Toc tooooc, voilà voilààà !
- Ben c’est pas trop tôt !
- Sorry, j’ai été retenue par un lézard qui refusait de clamser, tout ça parce qu’il voyait encore sa queue bouger à côté de lui…- Alors, Clémentine Entartée… ah bah, ça va swigger avec les autres décédés.
- Roh chut hein, contente-toi de m’emmener, veux-tu.Effectivement, ça commençait à faire beaucoup de morts dans le jardin… et ça papotait à fond, vous pouvez me croire. Entre savoir qui avait fait une tarte fantôme ratée, qui devait s’occuper de botter l’popotin de tonton Potiron, tout ça…
Et puis ça faisait aussi une bonne ambiance à la maison. Pêche a pu avoir le privilège de danser entre le fantôme de tatie Marina et Faufau-l’escargot…
M’enfin ça prenait vite la tête quand même. Du coup je m’exilais dehors pour peindre, ça me faisait du bien.
Et puis je continuais de faire la cuisine pour enfin arriver à faire des tartes correctement. D’ailleurs là aussi, j’avais besoin d’être inspirée. On change pas une âme d’artiste, j’vous l’dis !
Tonton Potiron a voulu squatter à la maison en rentrant du boulot, sauf que…
… hé ben ouais. J’étais partagée entre « on se débarrasse enfin des vioques ! » et « ça va en faire du fantôme relou à la maison ».
- Allez mon gros, en route chez ta mère, elle a deux mots à t’dire. Pwahaha.
Du coup comme y’avait trop de clamsés, on a refait un peu le fond du jardin pour que ce soit mieux organisé, c’bordel. Mais on a oublié de faire la photo, alors on vous montrera plus tard. En attendant, c’était mon anniversaire !
- T’es toujours magnifique à quarante balais, ma chérie !
- J’espère bien tiens !
Pas de gros changements en vue, je vous l’annonce.- Aloooors tonton, comment ça s’passe la cohabitation avec tout le monde ?
- Ta grand-mère râle encore plus maintenant qu’elle peut gueuler sur Potiron H24, c’est sympa… pas trop triste que ta mère soit partie ?
- Tu rigoles ? Elle va tellement revenir faire iech maintenant qu’elle est libre que j’vais pas avoir le temps de la pleurer ! Pis surtout que Lucas traîne encore sa tête grise par-ici…N’empêche, ça faisait du bien d’avoir moins de vieux dans la baraque. Même en ayant deux fillettes ici, ça valait pas le temps où on devait s’occuper de trente-six séniles. Surtout qu’elles étaient trop sages, mes poupettes.
Du coup, j’avais le temps de m’occuper un peu plus de moi et de ma carrière. Et BOOM, une promotion !
Pendant que Nectarine jouait à la poupée…
Pêche essayait de ne pas se casser la tronche. Elles étaient tellement semblables et différentes à la fois.
Et pendant ce temps, moi, j’essayais enfin d’appliquer une recette de tarte.
Alors là…
… mamie elle allait pas comprendre…
… à quel point elle allait en bouffer…
… Des tartes.
votre commentaire -
Souvent, Pêche et Cerise se retrouvaient toutes les deux à table, et tapaient causette. Du coup, j’étais jamais loin pour veiller au grain… sait-on jamais c’que la rouquine pouvait lui raconter.
Maman était devenue ranger de l’espace ! Mais elle avait carrément besoin de vacances.
Entre Sam et moi, tout allait bien ! C’était de mieux en mieux d’ailleurs, tellement qu’il en déplaçait son bras. Bref, la passion ne s’arrêtait pas et c’était tout ce qui comptait. Bon, quand Lucas s’foutait pas au milieu, hein.
Et puis on a entendu un PLOP à l’étage…
- Donc c’est celle-là, notre chambre ?- Ouais frangine ! Tu peux prendre le lit que tu veux. Sauf le bleu, c’est le mien.
Bizarrement, c’était un poil tendu à table.
Jusqu’à ce que Pêche se mette à faire des Z alors qu’elle était debout… elle débloquait complètement c’te famille.
Une après-midi, je suis rentrée à la maison en voyant que les filles avaient laissé traîner des bouquins sur le comptoir. Alors j’ai voulu les prendre pour les ranger…
Sauf qu’un papier en est tombé.
« Wesh, c’est Cerise. Je me tire ! Ras-le-bol de voir ta tronche. Mais un jour… je va reviendre ! Tu verras. »
Je vous avoue que ma première réaction fut de sauter au plafond. Qu’elle revienne, j’l’attendais ! En tous cas, elle était plus là, haha ! J’ai même fait encadrer son petit mot dans le salon.
Du coup, quelques heures plus tard, c’est maman qu’est venue me voir comme si elle me filait l’info de l’année.
- T’as vu ? Non mais t’as vu ?! Elle s’est tirée !
- Ben je sais m’man !- C’est ta faute j’suis sûre ! Si vous vous entendiez mieux, elle serait pas partie.
- M’enfin, elle a l’âge de se tirer hein, elle peut bien faire sa vie.- Oui mais bon, moi, elle va me manquer. Pis j’veux savoir si elle se trouve un mec, si elle fait des gosses…
- T’inquiète, ça, on le saura. Crois-moi ! T’façon elle peut bien faire des triplets, ça changera rien à ma vie.
- Non mais ça va hein, elle est plus là, ça sert à rien de continuer cette petite guéguerre. Moi, je comprends pas qu’elle soit partie comme ça…
- Eeeeh… ben j’m’en tamponne le cactus dans la bouillabaisse quoi ! Si t’es pas contente, t’as qu’à aller faire la vieille qui râle, mais chez elle.Y’avait pas d’doute, moi, j’étais bien heureuse. Contrairement aux vieux, et notamment Lucas qui passait déjà son temps à chialer les morts… ça s’arrangeait pas.
Même qu’on voyait souvent Faufau-l’escargot fureter autour de la maison. A coup sûr, elle avait capté que y’avait du potentiel dans la maison, ça pouvait clamser à tout moment. Et comme elle avait déjà merdé à arriver en retard les fois précédentes…
Alors okay y’avait une ambiance spéciale dans le coin, mais on pouvait pas m’enlever ma joie de ne plus voir la sale tronche de Cerise devant mon bol d’haricots-saucisses. De temps en temps, on avait de jolies visites comme celle de Prune qui avait enfin rencontré Sam. Elle a voulu lui raconter qu’elle avait trouvé l’amour et qu’elle était aux anges, tout ça, mais elle s’est rendue compte que tardivement qu’il était pas du genre à papoter comme les filles.
Mais je crois que ça lui a fait pousser des ailes, son histoire…
- Pastèque Entartée, tu es la femme de ma vie, mon tout, ma plus belle découverte, la folle qui a rempli le petit trou de mon cœur.
- Woloh, t’y vas à fond en plus.- Je sais. Bon, tu veux bien m’épouser, ma gazelle en sucre ?
- Attends attends, j’examine.- Ah ouais quand même, t’as mis le paquet.
- Rien n’est trop beau pour toi !
- Sans rire, t’en fais pas un peu too much ?- Alors tu dis oui ? Je peux me relever ?
- Attends regarde, je l’essaie !- Bon allez, c’est d’accord. Mais c’est bien parce que c’est toi, mon Samichou !
- Ah ben j’espère bien… je t’aime, jolie Pastèque.
- Moi de même ! Allez viens, on fait un smack.- Youhouuuu !
- La vache, tu pourrais prévenir !
- C’moi qu’tu traites de vache ?
- Meuh non, toi tu es uneuh jolie hirondelle qui s’envoleuh dans la rosée du matin !
- Je préfère…- Hé les filles, devinez quoi !
- M’man je sais, j’étais en arrière plan depuis le début…
votre commentaire