• J’vous cache pas que financièrement, c’était pas le pied. Si je voulais faire le plus de gosses possible pour que le moins de descendantes en souffrent, je pouvais pas me permettre de travailler, avec tous ces futurs biberons à donner… du coup je me suis mise à la peinture.

    Chapitre 2

     

    Et à l’écriture. Alors okay ça rapportait pas encore beaucoup mais il fallait bien que je m’entraîne pour arriver à me faire plus de blé ensuite. En attendant, je pouvais me reposer sur le reste des économies que j’avais.

    Chapitre 2

     

    Mais je me suis vite ennuyée. Alors j’ai vagabondé un peu dans le voisinage avant de tomber sur un arbre chelou.

    Chapitre 2

     

    Il m’a tellement fait triper que j’me suis mise à l’arroser, comme ça au pif.

    Chapitre 2

     

    Et puis ça m’a frappé. Cet arbre, il allait tellement pas avec le reste du décor que ça pouvait être que les esprits d’Aphrodite et de ma mère, ici pour garder un œil sur moi. Surtout que quand mon dos s’est mis à faire crac, les feuilles se sont mises à bouger. Pour sûr, c’était elles en train de se foutre de ma tronche.

    Chapitre 2

     

    Aaaah, les joies de la grossesse et ces envies de pisser toutes les quinze minutes… sans rire, c’était bien beau de se lancer là-dedans (bon sans avoir trop le choix, c’est vrai) avec le sourire, mais j’avais vraiment pas prévu que ce soit si éprouvant. Bon vous me direz, c’est mon premier bébé, tout ça, je découvre… ben c’était pas la partie la plus drôle !

    Chapitre 2

     

    Sauf la tête que j’devais certainement tirer.

    Chapitre 2

     

    Ce petit désagrément passé, j’suis partie en quête du prochain donateur à soudoyer. Pas très loin de la maison par contre, parce que les pauses pipi, je gérais pas encore. Et ça a payé ! T’es finalement à moi, Nicolas ! (p’tain j’fais des rimes en plus, si c’est pas la classe).

    Chapitre 2

     

    C’était dans la poche, j’avais plus qu’à roucouler une fois que le bidou serait dégonflé. J’étais tellement fière de moi que j’ai fait un tour à l’arbre, histoire de frimer un peu.

    Chapitre 2

     

    - Aphrodite, ma grande, j’suis sûre que t’as pas lancé ta malédiction juste parce que maman a niqué ton tombeau. Nan, moi j’pense que tu croyais pas capable la chair de sa chair être aussi productive et arriver à relever ton défi. Surtout sans magie.

    Chapitre 2

    - Alors okay, elle est passée pour une grosse crétine désespérée quand elle t’a profané, tout ça, mais faut pas croire qu’on est toutes aussi bécasses. Enfin pour l’instant y’a que moi, okay, mais mes filles peuvent pas décemment hériter de leur grand-mère… si ?

    Chapitre 2

     

    J’ui ai pas laissé le temps de répondre, j’me suis pissée dessus. Enfin non, j’avais mon premier bébé. Là, j’étais certaine qu’Aphrodite se fendait bien la poire.

    Chapitre 2

     

    Et hop ! Un petit Hermès ! Tu resteras en vie, hein hein ?

    Chapitre 2

     

    Bon, y’avait pas de raison, mais s’il lui fallait cent gosses à la bécasse grecque, pour libérer maman… autant mettre toutes les chances de mon côté. Enfin du coup, j’ai tapé dans le budget pour agrandir le cabanon.

    Chapitre 2

     

    Et j’ai pas perdu du temps pour appeler Nicolas.

    Chapitre 2

     

    2-0 pour bibi ! Reste dans ton arbre, grognasse, moi j’fais des gosses.

    Chapitre 2

     


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  • J’ai débarqué dans ma nouvelle vie avec les seules économies que j’avais pu arracher des griffes de ma sorcière de mère qu’était de toute façon plus là pour surveiller ce que j’faisais de sa thune.

    Chapitre 1

     

    Et pouf ! j’ai fait construire un cabanon. Ben ouais, j’allais pas le faire moi-même quand même.

    Chapitre 1

     

    Une fois ça torché, j’me suis dit qu’il valait mieux que je tarde pas trop à commencer la descendance dont Aphrodite avait parlé. Alors ouais, j’aurais pu me morfondre, pleurer toutes les larmes de mon corps en criant POURQUOUA MOUAAAAA, et tout ça, mais franchement ça servait à rien de fuir. Parce que si je refusais de coopérer, plus aucun Halliwell n’allait connaître l’amûûûr, et toutes ces co.nneries. Je veux dire, que je me bouge le fion ou pas, je reverrais plus ma mère de ma vie. Alors autant ne pas condamner toute la famille quoi. Du coup j’ai décidé de le prendre à la bonne et d’aller draguer en ville, parce que les bébés n’allaient pas se faire tout seuls.

    Chapitre 1

     

    J’ai commencé par la salle de gym’. ‘Paraît qu’un tatoué super connu y traîne souvent, un tombeur dans le genre je me la pète en faisant rien, carrément. Don, ou quelque chose comme ça. J’ai donc sorti mon plus beau sourire et mon déhanché endiablé quand je l’ai aperçu.

    Chapitre 1

     

    Alors okay, je l’ai trouvé, il était pas désagréable à regarder, tout ça tout ça… sauf que le c.on, il a même pas consenti à descendre de son tapis. Pas même quand je lui ai demandé en me baissant pour que mon décolleté fasse son boulot.

    Chapitre 1

     

    M’enfin bon, au final il dégageait une odeur tellement pire que celle de ma mère en train de pourrir avec Aphrodite que… c’était pas plus mal.

    Chapitre 1

     

    Je suis donc repartie en quête de mâles à amadouer, toute guillerette. Next quoi !

    Chapitre 1

     

    Là, j’suis tombée sur un type charmant. Non pas que j’comptais tenter de m’attacher (t’façon ça marcherait pas) mais s’il avait une bonne tronche, c’était quand même un plus de taille, on va pas s’le cacher. De vous à moi, c’est plus sympa d’amener un joli popotin dans son plumard, hein.

    Chapitre 1

     

    Bref, j’étais bien emballée pour en faire mon quatre heure mais il a préféré se barrer, c’c.on là. Il sait pas c’qu’il rate !

    Chapitre 1

     

    Mais la journée n’était pas finie. Du coup comme j’me suis dit que j’en avais pour un moment, j’me suis fait à bouffer sur place. Bazar de bazar, si la madre m’avait filé des pouvoirs !

    Chapitre 1

     

    J’étais toute bien avec mon plat d’hamburgers quand y’a une fausse blonde qu’a voulu squatter ma table avec sa démarche chelou. Non mais j’t’ai invité peut-être ?

    Chapitre 1

     

    Allez casseuh-toi va, laisse-moi bouffer tranquille. Non mais les gens j’vous jure, plus aucun respect.

    Chapitre 1

     

    J’ai repris ma traversée de la ville en tombant sur des mecs (heureusement, sinon ce serait moins facile…) en groupe que j’ai squatté sans souci. Bon, y’en avait qu’un qui m’intéressait et ça semblait réciproque, mais quand même.

    Chapitre 1

     

    Et puis là y’a un gros machin disproportionné qui est venu râler pour je ne sais quelle raison. Non mais sans déc.conner ! Franchement, il l’a sort d’où, sa casquette rose ?

    Chapitre 1

     

    Je l’ai jarté vite fait bien fait pour causer un peu plus amplement avec le dénommé Nicolas. Sauf que j’ai appris qu’il était marié. Bon, moi ça me gênait pas tant, j’en avais juste besoin pour mes œufs. Mais j’m’attendais pas à ce que ça lui pose aucun souci. Rien à battre, qu’il m’disait ! Ouais, lui aussi il avait juste envie de copuler, en gros.

    Chapitre 1

     

    Par contre je captais que dalle aux mecs. Parce que lui aussi il a fini par se barrer. Franchement, j’ai interprété ses signaux à l’envers ou quoi ? J’ai fini par aller au bar, et j’y ai croisé le premier beau gosse. Ouf ! C’était pas encore perdu.

    Chapitre 1

     

    Un regard langoureux par-ci.

    Chapitre 1

     

    Un joli sourire par-là.

    Chapitre 1

     

    Et c’était dans la boite.

    Chapitre 1

     

    Enfin, dans mon lit plutôt.

    Chapitre 1

     

    Yes ! Prends ça dans ta tronche, Aphrodite !

    Chapitre 1


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  • Salut ! Moi, c'est Héra Halliwell. Il paraît que je dois vous raconter mon histoire.

    En fait, tout a commencé quand ma mère, sorcière infiniment peu douée, a décidé qu'elle refusait de vieillir. Vous connaissez la rengaine, les femmes ont peur des rides, tout ça. Elle a lu dans un vieux bouquin poussiéreux que c'était chose impossible, à moins de récupérer le médaillon d'Aphrodite, déesse de l'amour et de la beauté, qu'elle-même gardait dans son tombeau. Impossible ? Tu parles Charles ! Pas pour ma mère qui était prête à tout. Bon, elle était pas méchante, ma mère. Juste un peu butée et aveuglée par le poids des années. Du coup, quand elle a profané le tombeau... l'esprit d'Aphrodite s'est réveillé ! Ben tiens, quel étonnement. Ma mère a voulu se justifier comme quoi elle voulait plaire à un homme éternellement. Donc Aphrodite a emprisonné son âme et l'a gardée avec elle dans son tombeau.

    " Je maudis ta descendance. Ta fille sera à la tête d'une lignée de cent enfants. Aucun ne connaîtra le véritable amour par ta faute. Si cette descendance parvient à se construire, alors la dernière des filles connaîtra une passion, celle que tu cherchais en venant me profaner. Et tu seras libérée."

    ... qu'elle lui a dit, avant de tout noter sur un parchemin pour que je le reçoive dans ma boite aux lettres le lendemain. Dingue hein ?

    Du coup voilà. Je me retrouve sans parent (parce que c'est plus drôle si en plus j'ai jamais connu mon père), sans aucun pouvoir non plus (parce qu'il fallait qu'elle soit égoïste cette saleté, j'ai jamais pu toucher à la magie), et sans grand chose pour subsister. Et en plus, il faut que je me transforme en pondeuse, et que je transmette ça à ma dernière fille quand j'serais ménopausée. Ah oui, et faut que j'nomme tout ce beau monde d'après des divinités grecques, histoire qu'Aphrodite soit contente. Vous la voyez venir, la vie de rêve ?

     

    Prologue


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  • Ça m’a tellement fait flipper c’t’histoire que j’suis ressortie illico de la chambre avant de buguer devant la porte fermée.

    Chapitre 18

     

    Quand le bruit a cessé, j’ai osé entrer de nouveau. Après tout, j’étais chez moi ! Sauf que… il aurait peut-être mieux valut que j’attende encore un peu.

    Chapitre 18

     

    Retour dans le couloir, en faisant du bruit avec la porte cette-fois, un peu tel un robot je vous l’avoue. Je ne savais pas ce qui me choquait le plus. De voir ma fille sécher les cours, ou de savoir qu’elle faisait des galipettes avec un garçon à seize ans. J’ai attendu qu’ils sortent, bien gentiment.
    - … DIS-DONC !
    - euh, donc ?

    Chapitre 18

     

    - … Est-ce que j’ai une tronche à rigoler ?
    - M’enfin mamounette, qu’est-ce qu’il t’arrive ?

    Chapitre 18

     

    - … C’qui m’arrive ? Tu t’foutrais pas un peu beaucoup d’moi ?

    Chapitre 18

     

    - Ben… je sais pas… t’as tes ragnagnas ?
    - Toi tu vas être punie, et tu l’auras pas volé !
    - Mais qu’est-ce que j’ai faiiiit !

    Chapitre 18

     

    - Tu devrais être en cours, voilà déjà c’que t’as fait ! Ou plutôt pas fait !
    - Tu me perds. Mais je vois l’idée, pardoooon rohlala, c’est qu’une journée !
    - J’ai pas confiance, faudra que je demande à tes sœurs.
    - Pfff…
    - Et ensuite… C’EST QUI ÇA ?!
    - Qui, ça ?
    - Le mec avec qui tu f’sais des trucs sous la couette ?!
    - Comment tu sais ça ?!
    - J’vous ai vu… la pire erreur de ma vie.
    - …
    - …
    - okay, ça c’est fait. Bref, c’est mon chéri, et je l’aime !
    - … MAIS T’AS SEIZE ANS !

    Chapitre 18

     

    Après ça, elle est descendue dans le salon en maugréant comme quoi j’étais pas un modèle parce que j’avais connu personne avant son père, à mes vingt ans… bon, elle n’avait pas totalement tort, mais c’était pas une raison. Ça m’a quand même fait réfléchir. Il était clair qu’elle allait entendre parler du fait de sécher les cours, ceci étant je n’avais pas à juger son fameux chéri sans même le connaître. Du coup, je me suis calmée et je les ai rejoints.
    - Bon alors, tu me présentes ?

    Chapitre 18

     

    - Ben voilà maman, c’est mon chéri. On est dans la même classe et ça fait quelques jours qu’on sort ensemble. Au début il m’aidait pour mes devoirs et puis… voilà quoi.
    - Je vais faire abstraction au « voilà quoi », et me concentrer sur le fait qu’il a l’air gentil et qu’il t’aide. Okay ?
    - Roooh, fais pas ta chochotte. Bref, on se connaissait en primaire déjà, alors flippe pas, ça sert à rien.
    - Je flippe si je veux.

    Chapitre 18

     

    - Et donc t’as un prénom, l’amoureux ?
    - Nael, madame !
    - C’est bizarre comme prénom…
    - En fait c’est Nathanael, mais on m’appelle Nael quoi.
    - Okay je vois. C'est sur que Nath, pour un mec... Ahem.
    Bon, l’ambiance, c’était pas encore ça.

    Chapitre 18

     

    En tous cas, pour bien se faire voir, il nous a fait à manger, le petit.

    Chapitre 18

     

    - Alors, il parait que la p’tite dernière a déjà un chéri ?
    - M’man, commence pas, j’ai déjà du mal à m’y faire…
    - Et les filles, elles étaient au courant ? Vhalia ?
    - Moi ? Mais point du tout ! Vous prendriez bien un peu de thé ?
    - Prends-nous pour des cruchonnes !

    Chapitre 18

     

    - J’vais aller lui remettre les idées en place moi, vous allez voir !
    - Mais mamaaan laisse enfin ! Si ça dérape trop, je vais gérer !
    - Tu parles ! Elle sèche les cours ta fille ! Et si elle passe son temps sous la couette avec son mec, tu m’étonnes qu’elle ait besoin d’aide pour ses devoirs !
    - … T’as pas tort. Mais bon, elle m’a dit que c’était juste l’autre jour, son séchage de cours, quand même.
    - Et tu la crois ?
    - Beeeen…
    - Maman, j’t’arrête tout de suite, Nel sèche très souvent.
    - Ah ben bravo… merci Banshee.
    - Mais je t’en prie.

    Chapitre 18

     

    Bref, je ne savais pas quoi faire avec cette histoire. En tous cas, elle avait décidé de se mettre au sport. Parce que je cuisinais trop ou parce qu’elle voulait encore plus plaire à son homme, je savais pas vraiment, mais au moins c’était « positif ».

    Chapitre 18

     

    Et on enchaînait avec Vhalia qui avait possiblement les mêmes raisons, bien que je ne connaisse pas d’homme dans sa vie. M’enfin, vu que mes filles avaient l’air de me cacher beaucoup de choses…

    Chapitre 18

     

    Sauf qu’elle s’est arrêtée en plein milieu pour son changement corporel quasi-invisible. Ouais, on avait zappé son anniversaire.

    Chapitre 18

     

    Mais bon, ça n’avait pas vraiment l’air de la traumatiser.

    Chapitre 18

     

    Elle en a profité pour directement aller postuler au bar de la ville. Tant qu’elle n’envoyait pas les bouteilles à la tête des gens, ça ne pouvait que bien se passer. Et après tout ça, on avait droit à Yerik, venant… je sais pas, faire la tronche ou pleurer, peut-être les deux en même temps, à la maison. En tous cas les urnes étaient à dix mètres de lui, il avait pas tout compris. Bref, au top la famille.

    Chapitre 18


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  • Maintenant que nous avions mis un terme à la naissance d’enfants, il était drôle de voir les filles spéculer sur qui serait nommée héritière. Je ne savais pas si elles avaient compris ou non cette histoire de bleu, mais elles devaient encore espérer avoir une dérogation.

    Chapitre 17

     

    Peu après, Banshee a grandi dans un nuage chelou de lumière. C’était ça de zapper son anniversaire.

    Chapitre 17

     

    J’vous le dis de suite, c’est mon portrait craché, mais en noir. Si si. Bon, ceci étant, elle nécessitait elle aussi de passer par un bon relooking.

    Chapitre 17

     

    - Bon alors, vous avez vue non ? J’suis en bleu ! Bon, ça c’est mon pyjama, mais vous m’avez vue non ?
    - Mais oui, on t’a vue…
    - Bon alors, ça compte nan ?!
    - Pas sûr…

    Chapitre 17

     

    - Hé ben alors, comment ça farte papa ?

    Chapitre 17

     

    - Moi, ça va… mais on a accueilli tes sœurs y’a peu.
    - Accueilli… comment ça ?

    Chapitre 17

     

    - Ben avec ta mère là haut, tu sais.
    - Mais… mais… c’pas possible ! Elles auraient pu prévenir quand même !

    Chapitre 17

     

    - Hé ben, ravi que ça t’rende triste !
    - Roh ça va hein, toi t’es mort depuis belle lurette et j’te vois toujours. Pis t’es drôle de m’apprendre ça comme ça toi, j’l’avais franchement pas vu v’nir !

    Chapitre 17

     

    - Ah pis on a Sarah aussi.
    - La chérie de Yerik ?
    - Tout juste. Bon, on s’connait pas vraiment mais c’est assez fun pour le moment…
    - Heureuse d’apprendre que c’est l’éclate pour vous ! Tu m’excuses hein, mais avec le boulot toussa… j’en peux plus moi. Pis alors quatre mortes d’un coup, tu m’achèves…

    Chapitre 17

     

    Après ces merveilleuses nouvelles, j’étais ravie de vous apprendre que Vhalia avait décidé de se lancer dans la boisson mixologie.

    Chapitre 17

     

    Même si elle maîtrisait pas tout à fait encore ça, et que c’était un poil dangereux…

    Chapitre 17

     

    Toruk a fêté son anniversaire, avec le soutien de ses sœurs.

    Chapitre 17

     

    Et a sauté de joie juste après en annonçant qu’il se barrait de cette maison de fous. Rapport au fait que les filles se battaient pour savoir qui était l’héritière et que de toute façon, « c’était qu’un mec ».

    Chapitre 17

     

    Du coup il a disparu avec un p’tit bisou un peu honteux et ce fut à Lena de souffler ses bougies peu après.

    Chapitre 17

     

    D’ailleurs ça a tellement emballé Nel qu’elle en a bugué à travers la chaise.

    Chapitre 17

     

    Elle m’a dit qu’il fallait l’appeler de suite si elle était l’héritière, avant de partir vivre chez son frère. Personne n’avait l’air d’avoir compris que ladite héritière était déjà désignée et que tout le monde aurait pu le comprendre en se creusant un peu la tête. Bon, Marc le savait, quand même. Ça n’empêchait pas d’avoir une bonne ambiance à la maison de toute façon. En tous cas, les filles s’entendaient bien.

    Chapitre 17

     

    Et puis un jour, mon chouibou d’amour à dû fêter son anniversaire. Oui, dû. Parce qu’il avait terminé ses belles années !

    Chapitre 17

     

    Aïe aïe aïe… tout gris, qu’il était devenu !

    Chapitre 17

     

    Mais bon, ça ne m’empêchait pas de l’aimer.

    Chapitre 17

     

    Nel est revenue une après-midi en sautillant de partout parce que c’était son anniversaire aussi.

    Chapitre 17

     

    Elle a donc soufflé, et…

    Chapitre 17

     

    … Vous avez cru que c’était la fin, pas vrai ? Hé bien non, et laissez-moi vous dire que la chance continuait d’affluer. Elle était ma-gni-fique ! Elle me ressemblait certes un peu moins que Vhalia ou Banshee, mais restait infiniment belle et surtout, avait MON bleu.

    Chapitre 17

     

    Depuis ce moment, le seul truc dont elle parlait vraiment (vous savez, les ados, toussa…) c’était la musique. Alors on lui a acheté une guitare, ça lui a fait plaisir (et elle nous foutait la paix, accessoirement).

    Chapitre 17

     

    Le seul problème, c’est qu’il fallait qu’elle s’entraîne… à la maison.

    Chapitre 17

     

    Bref, la vie continuait et tout allait relativement bien. Jusqu’à ce que je veuille faire le ménage et qu’une des chambres s’est trouvée être… occupée.

    Chapitre 17


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